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Titre
Le danse et l’art comme véhicule : Butō(s) entre France et Japon.
Sujet
Asie / Japon / Butō (Japon)/ Danse / Europe / France / Interculturalité / Thèse de doctorat
Description
Thèse de doctorat soutenue le 28/11/2012.
Résumé: Cette étude met en perspective les modalités de l’action de danser – le dansé – dans le cadre de six démarches Butō développées par des danseurs en France et au Japon : Claude Magne, Richard Cayre, Carlotta Ikeda en France, et Ko Murobushi, la compagnie Dairakudakan (Akaji Maro) et Yoshito Ôno au Japon. Il s’agit de l’étude de l’élaboration performative de ces danses, la fabrique de celles-ci. L’investigation des modalités de ces cheminements et l’étude des actions des performeurs se réalisant essentiellement à travers l’engagement personnel dans ces voies de pratiques. Comment pourrions-nous caractériser ces cheminements qui s’opèrent dans la durée sur le long terme, et qui, à travers la mise en œuvre des techniques du corps ainsi que les procédés discursifs qui les accompagnent, rendent indissociables art et chemin de vie ? La question principale à laquelle nous tentons de répondre dans cette étude est : En quoi des artistes danseurs, en France et au Japon, par leur recherche sur les processus spécifiques qui conduisent à la pratique de butō(s), génèrent-t-ils des pensées/actions, des façons d’être, qui permettent de reconsidérer les notions d’action, de cognition, d’imaginaire, d’art, et de rapport au monde? Cette recherche ouvre sur la question de l’art et de son champ opératoire, sur les rapports entre art et société et elle s’inscrit au sein du vaste champ de recherche sur les pratiques performatives (projet de l’ethnoscénologie) ou sur « les comportements humains métaquotidiens » (Grotowski).
Résumé: Cette étude met en perspective les modalités de l’action de danser – le dansé – dans le cadre de six démarches Butō développées par des danseurs en France et au Japon : Claude Magne, Richard Cayre, Carlotta Ikeda en France, et Ko Murobushi, la compagnie Dairakudakan (Akaji Maro) et Yoshito Ôno au Japon. Il s’agit de l’étude de l’élaboration performative de ces danses, la fabrique de celles-ci. L’investigation des modalités de ces cheminements et l’étude des actions des performeurs se réalisant essentiellement à travers l’engagement personnel dans ces voies de pratiques. Comment pourrions-nous caractériser ces cheminements qui s’opèrent dans la durée sur le long terme, et qui, à travers la mise en œuvre des techniques du corps ainsi que les procédés discursifs qui les accompagnent, rendent indissociables art et chemin de vie ? La question principale à laquelle nous tentons de répondre dans cette étude est : En quoi des artistes danseurs, en France et au Japon, par leur recherche sur les processus spécifiques qui conduisent à la pratique de butō(s), génèrent-t-ils des pensées/actions, des façons d’être, qui permettent de reconsidérer les notions d’action, de cognition, d’imaginaire, d’art, et de rapport au monde? Cette recherche ouvre sur la question de l’art et de son champ opératoire, sur les rapports entre art et société et elle s’inscrit au sein du vaste champ de recherche sur les pratiques performatives (projet de l’ethnoscénologie) ou sur « les comportements humains métaquotidiens » (Grotowski).
Créateur
Lamarque, Anne-Laure
Éditeur
Université Paris VIII, Saint Denis, France.
Date
2012.
Contributeur
Pradier, Jean-Marie (Directeur de thèse).
Droits
Anne-Laure Lamarque.
Format
2 vol. (697 f.) : ill. en noir et en coul. ; 30 cm.
Langue
FR
Type
Texte imprimé.
Identifiant
Numéro national de thèse: 2012PA084010.
Cotes à la BU PARIS 8: TH3636/1, TH3636/2, TH3636/1BIS et TH3636/2BIS (2 exemplaires).
Couverture
Terrains explorés: France (48°51′24″N 2°21′07″E) / Japon (35° 40′ 15″ N, 139° 46′ 19″ E)
Lieu de soutenance: Université Paris VIII (48°54′00″N 2°29′00″E).